De nombreux exemples attestent la pression exercée par la société "Enedis" sur les particuliers pour imposer le compteur "Linky" :
"À Pamiers (09), la porte d’un particulier est fracturée pour poser en son absence un nouveau compteur.
À Brive (19), les 23 copropriétaires d’une résidence, qui s’étaient unanimement prononcés contre l’installation des compteurs Linky, dénoncent une « opération commando » après qu’on ait changé de force et en cachette les anciens compteurs.
À Biarritz (64), une équipe d’Enedis coupe illégalement le courant à une habitante qui refuse le compteur Linky, il faut l’intervention du maire pour que le courant lui soit rétabli..."
À l’appel de 200 collectifs et associations, s’est tenu mercredi 22 mars à Paris un rassemblement national Stop-Linky pour interpeller les maires de France et les candidats à la présidentielle : « Une colère de plus en plus puissante gronde dans toute la France face aux passages en force d’Enedis et de ses sous-traitants. »
Vous pouvez accéder à une enquête réalisée par médiapart sur l’enfer des compteurs Linky, tant pour les usagers que pour les salariés.